Ô Ghaza !
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Ô Ghaza !
Ô Ghaza
60 années de patience
60 hivers de souffrance
Combien de temp vas-tu encore pleurer terre aimée
Tu porte le sang de mes frères inconnus
Et pourtant Ô vous mes frères je vous aimes tant
Face à cette detresse je me sent si perdue
A chaques mort d'un petit être, j'ai perdue un enfant
Et pourtant je suis coupable
Ô combien coupable Ghaza
J'ai moi aussi ete complice, comment ne pas se sentir minable
Fasse à ces suplices, nous n'avançons pas
Honte à moi qui dit t'aimé
Ne dis t-on pas que l'amour se prouve et ne se dit pas
Et nous nous complaisons dans nos vie materialisées
Réagissons à notre mesure, cette mesure est un pas
Quelle honte, baissons la tête,
Nous admirons ce monstre qu'est cette bête
De pouvoir, d'avidité, pseudo puissance
Batie sur le sang, les cris, la souffrance
Nous sommes esclaves de nos passions
Poussés par la conssomation, dictée par ce serpent sans nom
Alors nous preferons fermer les yeux fasse à l'injustice
Car nous craignons celui que nous avons pour nouveau Dieu
Aveuglés, endormis fasse à ce monde factis
Ô pauvres drogués que nous sommes, ou est donc passé le curieu
Ou est le courageu qui se levera pour denoncer
L'indenonçable, le secret, le caché
Ou es l'homme qui a decouvert que tout est crée, calculé
Pour garder le bas peuple sous la peur
Creer le chaos, rendre la societé asservie ne pensant qu'à son bonheur
Parler à un prix, beaucoup on fait le choix
A eux tout mon respect, qu'on ne cesse de combattre et censurer
Alors Ghaza, tu vas encore pleurer, la decision ne vient pas de moi
Elle a été prise par des illuminés
F.
60 années de patience
60 hivers de souffrance
Combien de temp vas-tu encore pleurer terre aimée
Tu porte le sang de mes frères inconnus
Et pourtant Ô vous mes frères je vous aimes tant
Face à cette detresse je me sent si perdue
A chaques mort d'un petit être, j'ai perdue un enfant
Et pourtant je suis coupable
Ô combien coupable Ghaza
J'ai moi aussi ete complice, comment ne pas se sentir minable
Fasse à ces suplices, nous n'avançons pas
Honte à moi qui dit t'aimé
Ne dis t-on pas que l'amour se prouve et ne se dit pas
Et nous nous complaisons dans nos vie materialisées
Réagissons à notre mesure, cette mesure est un pas
Quelle honte, baissons la tête,
Nous admirons ce monstre qu'est cette bête
De pouvoir, d'avidité, pseudo puissance
Batie sur le sang, les cris, la souffrance
Nous sommes esclaves de nos passions
Poussés par la conssomation, dictée par ce serpent sans nom
Alors nous preferons fermer les yeux fasse à l'injustice
Car nous craignons celui que nous avons pour nouveau Dieu
Aveuglés, endormis fasse à ce monde factis
Ô pauvres drogués que nous sommes, ou est donc passé le curieu
Ou est le courageu qui se levera pour denoncer
L'indenonçable, le secret, le caché
Ou es l'homme qui a decouvert que tout est crée, calculé
Pour garder le bas peuple sous la peur
Creer le chaos, rendre la societé asservie ne pensant qu'à son bonheur
Parler à un prix, beaucoup on fait le choix
A eux tout mon respect, qu'on ne cesse de combattre et censurer
Alors Ghaza, tu vas encore pleurer, la decision ne vient pas de moi
Elle a été prise par des illuminés
F.
Firdaws- Membre assidu(e)
-
Messages : 2310
Points : 1585
Date d'inscription : 25/01/2009
Localisation : Dz
Emploi/loisirs : Artiste Peintre
Re: Ô Ghaza !
Firdaws a écrit:Ô Ghaza
60 années de patience
60 hivers de souffrance
Combien de temp vas-tu encore pleurer terre aimée
Tu porte le sang de mes frères inconnus
Et pourtant Ô vous mes frères je vous aimes tant
Face à cette detresse je me sent si perdue
A chaques mort d'un petit être, j'ai perdue un enfant
Et pourtant je suis coupable
Ô combien coupable Ghaza
J'ai moi aussi ete complice, comment ne pas se sentir minable
Fasse à ces suplices, nous n'avançons pas
Honte à moi qui dit t'aimé
Ne dis t-on pas que l'amour se prouve et ne se dit pas
Et nous nous complaisons dans nos vie materialisées
Réagissons à notre mesure, cette mesure est un pas
Quelle honte, baissons la tête,
Nous admirons ce monstre qu'est cette bête
De pouvoir, d'avidité, pseudo puissance
Batie sur le sang, les cris, la souffrance
Nous sommes esclaves de nos passions
Poussés par la conssomation, dictée par ce serpent sans nom
Alors nous preferons fermer les yeux fasse à l'injustice
Car nous craignons celui que nous avons pour nouveau Dieu
Aveuglés, endormis fasse à ce monde factis
Ô pauvres drogués que nous sommes, ou est donc passé le curieu
Ou est le courageu qui se levera pour denoncer
L'indenonçable, le secret, le caché
Ou es l'homme qui a decouvert que tout est crée, calculé
Pour garder le bas peuple sous la peur
Creer le chaos, rendre la societé asservie ne pensant qu'à son bonheur
Parler à un prix, beaucoup on fait le choix
A eux tout mon respect, qu'on ne cesse de combattre et censurer
Alors Ghaza, tu vas encore pleurer, la decision ne vient pas de moi
Elle a été prise par des illuminés
F.
excellent firdaws
je te remercie
Invité- Invité
Re: Ô Ghaza !
C'est moi qui te remercie petite fleur
Firdaws- Membre assidu(e)
-
Messages : 2310
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Date d'inscription : 25/01/2009
Localisation : Dz
Emploi/loisirs : Artiste Peintre
Re: Ô Ghaza !
Merci pour votre contribution pour la cause honorable, faudrait persévérer dans ce sens.
DJAMAL 2008- Explorateur
- Messages : 10
Points : 0
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: Ô Ghaza !
merci a toi
inchallah cest ce que jessay de faire
inchallah cest ce que jessay de faire
Firdaws- Membre assidu(e)
-
Messages : 2310
Points : 1585
Date d'inscription : 25/01/2009
Localisation : Dz
Emploi/loisirs : Artiste Peintre
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