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16 POEMES ( le musulman, la paix, la fin des temps...)

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16 POEMES ( le musulman, la paix, la fin des temps...) Empty 16 POEMES ( le musulman, la paix, la fin des temps...)

Message par ZOUSTRA Dim 2 Sep 2012 - 23:49

16 poèmes tirès du site : http://www.coursduvendredi.com/poemes.php

Le musulman
Sa religion il l’appelle la soumission
Le jihad dans le monde entier sa mission
N’ayez pas peur de lui vous tous qui écoutez
Lui qui veut à ses oppresseurs faire goûter

La terreur dont il est victime tous les jours
On donne des regards de haine au lieu d’amour
A lui pauvre diable qui n’a rien demandé
Qui rit si peu et n’a rien à manger

Son culte il le voue à un Dieu juste et unique
Il souffre que l’on souille de sang sa tunique
Le monde est-il fait ainsi les innocents pleurent

Comme les déracinés il attend son heure
Son jihad garder dans son cœur le nom d’Allah
Pour mériter les délices de l’Au-delà




La religion
La religion exaspérait bien les passions
Avait beaucoup de mal à dompter la raison
Du ciel elle était descendue à nos consciences
Elle n’était pas contradictoire avec la science

Elle remontait aux âges les plus reculés
Et se destinait aux esprits immaculés
Les rites et la foi nous rapprochaient de Dieu
Aujourd’hui les hommes n’ont plus la foi des pieux

Ils ne leur restent que les rites des Anciens
Ne demeure que la religion des païens
Des fidèles par millions toujours s’émerveillent

Mais bientôt une étincelle commence à poindre
C’est l’image du Christ que l’on veut oindre
Une image qui brille comme le soleil



La paix
O Paix printemps de tous les peuples opprimés
Soupir de toutes les nations libérées
Rêve d’avenir de toutes les générations
Remède parfait à toutes les dissensions

Exception dans toute l’histoire universelle
Pourvoyeuse proche d’espérances nouvelles
C’est en son nom magique que les grands trompaient
On explique qu’on fait la guerre pour la paix

Voilà pourquoi la guerre dure aussi longtemps
Eh bien donc qu’en sera-t-il à la fin des temps
Grand règne de la vie fertile et partagée

Or pour la paix sans fin il faut toujours donner
Jamais au mal du désespoir s’abandonner
C’est notre avenir à tous qui est en danger



Le mariage
Institution qui fait la grandeur des nations
Il sait se prêter le mieux à l’imitation
Le lien fertile qui fait la prospérité
A pour horizon ultime l’éternité

L’union des êtres aux aspirations uniques
C’est la garantie de beaux enfants magnifiques
Un mâle et une femelle toujours les mêmes
Ainsi on aura tout le temps des cœurs qui s’aiment

Mais ne jamais faire d’actes contre nature
Or ce serait se donner aux chiens en pâture
Désormais il se défait par les temps qui courent

Des enfants fait librement jetés à la rue
C’est comme marcher devant le monde tout nu
Sans lui on ne peut faire des mœurs le parcours



Le temps
Le temps ce qui passe dépasse et trépasse
Devant lui rien ne résiste et tout s’efface
Il enveloppe et ne laisse rien au hasard
Et touche tout même dans son trou le lézard

Epuise mes forces à force de travail
Nos belles précautions ne sont qu’épouvantail
Nul homme n’a de privilège face au temps
Tout est dans l’art de s’y plier pas trop longtemps

User briser achever arracher soumettre
Ne reste que la solution de se démettre
Voilà l’œuvre du temps qui passe sur nos têtes

Rien ne sert de se réfugier au loin au faîte
Des hautes montagnes l’on est fait pour mourir
C’est la ruine des espoirs et des beaux sourires



La fin des temps
Voilà le chaos qui les temps nouveaux précède
C’est le feu infernal du malheur où tous cèdent
L’époque de l’horreur sale et abominable
S’abat sur les dos courbés de peuples minables

Le règne de l’injustice et de la terreur
Partout est la *****équence de nos erreurs
Et les rois et les chefs gouvernaient en tyrans
Des parvenus qui se prenaient pour dirigeants

Les droits de tous les peuples étaient bafoués
Des masses entières que l’on menait au fouet
Tout le monde s’adonnait aux actes ignobles

Fossé où s’entassent les idéaux perdus
D’une ère où tous sont précipités éperdus
Mais où sont passés d’antan les sentiments nobles



La guerre
La guerre c’est ce qui le monde désespère
Il y en a qui pleure qui rit et qui espère
Hélas les morts n’ont jamais été un progrès
Ils sont encore suivis par d’amers regrets

La guerre a toujours écrasé l’humanité
C’est l’arène de toutes les impunités
Sans cesse fleuves de larmes et de sang coulent
Dans les sillons embourbés de nos cœurs qui croulent

Il est sûr que ce sont des enfants qu’on enterre
Ceux-là même qui croyaient jouer à la guerre
Les mensonges de l’Etat les ont tous trompés

Les hommes ne sont jamais prêts qu’aux destructions
Famines terreur et meurtres entre nations
Tout cela pour autant de promesses tronquées



Le pacifique
La paix est son mot d’ordre à chaque fois le même
De toutes les saisons c’est le printemps qu’il aime
Il n’aime pas la guerre et préfère l’amour
Très sûr de lui il ne manque pas de bravoure

Son temps est celui de toutes les utopies
Ses yeux ont vu mourir la terre d’Ethiopie
L’unique remède c’est partager le pain
Et surtout ne jamais mépriser son prochain

A cet idéal il reste toujours fidèle
Il est tel un homme d’une femme fou d’elle
Et sa loi lui ne la veut jamais indolore

Pour réussir il faudrait une parole unique
La sienne refuse le règne des rois iniques
La paix c’est la cendre qui fait du plomb de l’or



L'arabe
Il marchait avec la gloriole du seigneur
Il n’avait peur de personne partout ailleurs
Il avait horreur surtout des contradictions
Il aimait les sentiers battus sans distinction

Il ne se séparait jamais de son épée
De son cheval toujours par l’ennemi épié
Tout son monde c’est le désert et la distance
Il ne renonçait pas malgré la soif immense

Aujourd’hui que reste-t-il de cette légende
Une civilisation qui n’a plus rien de grande
Il a perdu le goût de la mort au combat

Il est devenu cette proie que l’on abat
Il veut bien vivre oisif à l’ombre de l’or noir
Pourtant sa fin approche et un grand désespoir



Le serpent
Il vient de très loin et de haut dans la montagne
De cette montagne de Sion où est la hargne
D’un esprit de haine d’horreur à tout emporter
Il ne recule pas près à tout supporter

La politique la fin avec les moyens
Toujours la domination du monde chrétien
La haine de Dieu et la violence totale
Et n’épargner personne du destin fatal

L’orgueil aveugle ses yeux mesquins et cupides
Ses ambitions dans le plan divin sont stupides
La Bible comme un programme despotique

Le grand Israël et l’Europe politique
Capitale de ce nouveau maître imposteur
L’humanité dans les fers viens Seigneur



La jalousie
Vice le plus absurde et le plus méprisable
Le jaloux croit tout le monde à lui redevable
Vouloir la faillite d’autrui sans rien gagner
Nul par ce mal qui nous ronge n’est épargné

Elle est à l’origine de tous nos malheurs
Comme si l’on était tous de méchants voleurs
Souviens-toi quand elle prit le cœur de Satan
Qui ne pouvait supporter le bonheur d’Adam

Des trois religions révélées quelle est la vraie
Les savants savent mais ne veulent pas la paix
C’est qu’ils sont malades et ne veulent rien dire

Un petit noir joue seul aux lèvres le sourire
Un blanc le frappe à la tête sur son chemin
Pourquoi le vice à tous les mortels si commun



Le fou
C’est un voyage sans retour qu’il préconise
Oublier le passé et ce qui nous chagrine
C’est une guerre totale qu’il imagine
Des hommes armés qui nos terres colonisent

Du matin au soir il court les rues de la ville
Pour effacer ces soucis qui nous accaparent
Pour dénoncer la violence qui se prépare
Eviter la furie des instincts les plus vils

La folie des hommes qui ne voient rien venir
L’exaspère au plus haut point et part prévenir
Les fous de la montagne qu’il faut y rester

Ne jamais descendre dans ces lieux dévastés
Il est le seul à savoir le jour qui approche
Seul contre tous à deviner que l’Heure est proche



Jésus
L’Oint du Seigneur Jésus Christ est de retour
Il est pour l’humanité l’ultime recours
Il vient au galop parce qu’il revient de loin
Dieu l’a tellement aimé qu’Il a fait Son Oint

De cet être plein de vérité et de grâce
Il est venu annoncer à toutes les races
La bonne nouvelle du royaume des cieux
De nos rêves fabuleux il est le plus vieux

Combien de sectes formées par des imposteurs
C’est pour les combattre qu’il vient comme un voleur
Pour n’être encore lapidé et crucifié

Le fils de Dieu il ne l’est pas prophète divin
Il n’a jamais trempé son sang pur dans le vin
L’Antéchrist n’est jamais loin il faut se méfier



L'ascète
Heureux qui ne veut de cette vie insipide
Et présente aux autres le visage livide
Comme de celui qui souffre et n’a rien mangé
De celui qui est en perpétuel danger

Il se réfugie tout seul dans la solitude
Pour ne pas face à la vie changer d’attitude
Pour aussi échapper aux autres et au monde
Qui dégage sans cesse des odeurs immondes

Qui l’entoure et qu’il décrit comme une menace
Sur les hautes montagnes il monte et s’efface
C’est l’homme dans le dénuement qu’il veut montrer

Dans les monastères c’est là qu’il veut rentrer
Un homme qui ne demande rien à personne
Du fond du cœur une voix l’appelle et résonne



La musique
C’est le son d’éternité qui vient à nous
Des chanteurs des danseurs dérivent de partout
Des mélodies et des éloges de l’amour
Du sérieux et de l’inspiration sans humour

On joue de toutes sortes d’instruments possibles
Pour donner à l’âme des sensations terribles
Pour atteindre le cœur lui donner de la joie
En remplacement de ce qui était la foi

Toujours les mêmes refrains redits autrement
Aigu grave rapidement ou lentement
La musique l’affaire d’une âme malade

A laquelle on donne une petite balade
Enfin ce son et cette voix sont éphémères
Mais ces effets sont aussi amples que la mer



Le guerrier
Il retient des douleurs de l’enfantement
Ce qu’il revit sur le terrain patiemment
Dans la guerre il a croisé le feu et le fer
L’adversaire est trop fort il n’y a rien à faire

Au fond de sa tranchée qu’il construit à la hâte
Il défit l’ennemi anonyme et opiniâtre
Jeté dans l’arène entre mourir ou tuer
Le choix est simple pour n’être pas fusillé

Les armes le ceinturant faisaient sa gloriole
Devant les femmes des villages que l’on viole
Encombrantes comme le filet de la mort

Désormais tout est suspendu à des renforts
Or ceux-ci ne sont pas là pour vivre non plus
Mais pour alimenter du sang le fatal flux

http://www.coursduvendredi.com/poemes.php

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