Le Savoir vivre (première partie) par séraphin

Nous vivons dans une société, peuplée d’invendu, avec lesquels nous entretenons des rapports quotidien, que ce soit avec des amis, au sein même de la famille, ou des étrangers de manière générale. Evidemment pour vivre collectivement, il faudrait qu’il ait des règles qui régissent le comportement des individus, les uns envers les autres. Il est claire que ce n’est pas des lois et code dont je vais parler dans cet article, mais plutôt de ce que je préfère appeler « le savoir vivre » qui n’est autre que les bons comportements vis-à-vis autrui.

Je tiens avant tout à préciser, que ce que je vais aborder est tiré de ma propre expérience, quoique maigre, donc il est susceptible de ne pas convenir à votre idéal, par conséquent, personne n’est censé adhéré à mes conviction, ou à la vision que je porte sur différentes choses.

Commençant par la petite technologie, très utile voire une nécessité dans notre vie : le téléphone portable.
- Lorsque vous appelez une personne, et elle ne répond pas, tachez d’essayer encore deux fois puis renoncez, en tout, ça fera trois appels. Je me basse là-dessus sur l’éthique de frapper à la porte. Comme il est convenu, en islam, on frappe trois à la porte, et si personne ne répond, dans ce cas il faut s’en aller. Il faut savoir que le fait de partir, ne veut pas dire systématiques que personne ne se trouvait à la maison. Il se pourrait que la personne qu’on désirait voir, ne soit pas prête à recevoir du monde. La même chose en ce qui concerne le téléphone, il y a des fois où l’on ne veut pas tout simplement répondre, où que l’on soit dans une situation inconfortable pour parler.

- Le premier point, précédemment évoqué, peut être considéré comme le devoir de l’émetteur envers le récepteur. Pareillement, ce que nous allons évoquer, est considéré comme le devoir du récepteur en vers l’émetteur. En effet, lorsque nous trouvons trois appels en absence sur notre portable ou plus, la moindre des choses c’est de rappeler la personne qui a essayer de nous joindre. Il m’est arrivé, à plusieurs reprises, d’appeler des connaissances, au bout de trois appels, j’arrête me disant qu’ils vont sûrement me rappeler, au moment même ou plous tard, ce qui n’a jamais était le cas, sauf dans de rares occasions.

- Il arrive souvent dans la vie, qu’après avoir donné un rendez-vous à quelqu’un, on se voit entravé par un imprévu. Dans des situations pareilles, il est séant, voire crucial, d’appeler la personne avec laquelle on s’est donné rendez-vous et la prévenir de l’incapacité de la rejoindre, en précisant les raisons, si cela est possible. Dans le meilleurs cas, on pourrait l’appeler avant même qu’elle se donne la peine pour se rendre au lieu du rendez-vous.
A suivre…

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