Réponse à Nadia BENAKLI pour son article « TUNISIE, Le pays où la femme est reine » paru dans l’édition du 18 Novembre 2010 du quotidien l’Expression
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Valodia
Séraphin
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Réponse à Nadia BENAKLI pour son article « TUNISIE, Le pays où la femme est reine » paru dans l’édition du 18 Novembre 2010 du quotidien l’Expression
En réaction à cet article :
Séraphin, le 18/11/2010
Dans son article, la journaliste Nadia BENAKLI du quotidien l’Expression tente tant bien que mal de nous exposer le portait d’une femme « libre » ou libérée, selon elle, dans un pays voisin qui n’est d’autre que la Tunisie « ce petit pays incarne le modèle de la femme émancipée. » comme elle le décrit. Une « reine », lis-t-ton, et comme ce pays est La référence, la femme en Algérie ne serait qu’une pauvre asservie. Loin de moi l’idée de faire l’apologie de l’Etat, mais il en reste que le seul pays arabe où une femme a été promue générale au sein d’une institution purement masculine qui est l’armée, demeure l’Algérie à ma connaissance, alors que la Tunisie n’en compte aucune. Sans oublier les postes sensibles qu’occupent les femmes en tant que ministres. Dans les autres pays arabes, on en voit peut. Même le code la femme a été remanié a détriment du deuxième article de la Constitution au profit de la femme, qui peut désormais se marier contre la volonté de ses parent. N’est-ce pas du progrès ça ! Qui est les vraies reines dans ce cas-là ? Bref, comment notre journaliste définie-t-elle la liberté de la femme, et à travers quel prisme la andouilleçoit-elle ?
Au fait la femme « libre » selon Nadia BENAKLI c’est la Métamorphose en terme kafkaïen, la femme devient un homme en brisant toutes les frontières qui les séparent ; et fait tous ce que ce dernier entreprend comme folie ou maladresse. C’est dire qu’elle peut fumer en toute « liberté » dans les endroits publics sans subir le regard des autres. D’ailleurs notre journaliste se réjouit à l’idée que « Même les femmes voilées fumaient sans aucune gêne leurs cigarettes. » En matière de progrès, c’est un grand pas en effet. Je pense que « libertinage » est le terme adéquat pour décrire cette « liberté ». Bientôt en fumant beaucoup plus, et surtout si les femmes en burqa s’y mettent elles aussi, Jupiter sera conquis.
Si la liberté ou l’émancipation de la femme se réduisait au simple fait de fumer en publique, en toute évidence l’Algérie n’a rien à envié à la Tunisie concernant ce point. Les femmes qui fument, on en voit un peu partout : dans les universités, les hôtels, les cafés, sur les plages et dans les bars, etc. A ma connaissance il n’y aucune loi en Algérie qui interdit aux femmes de fumer en publique. Après tout, tous le monde a le droit de mourir comme il veut. Si les hommes veulent se pourrir les poumons et mourir dans des atrocités qui leur conviennent, pourquoi diable les femmes n’auront pas droit à cette misère elles aussi! Seulement il y a un grande partie de femmes en Algérie qui n’éprouvent pas l’envi de fumer, donc elles s’y plaisent dans la servitude loin de la liberté de la cigarette. Doit-on, en suivant l’exemple tunisien― par je en sais quelle magie, c’est devenu une référence ma foi !― leur distribuer des paquets de cigarettes gratuit et des narguilés pour marquer l’avènement de la liberté de la femme en Algérie ? C’est loin d’être intelligent et ça l’est encore moins en choisissant un pays comme la Tunisie pour prôner la « liberté » sous n’importe quelle forme, alors que c’est l’un des premiers pays arabes qui persécute toutes les libertés : celle de la presse et du culte en sont un bon exemple. D’ailleurs les rapports en matière de classement des pays arabes concernant les persécutions ―paradoxalement publié sur ce même quotidien, L’Expression en l’occurrence― placent l’Algérie devant la Tunisie et le Maroc. Il est clair que pour parler de liberté, l’exemple est mal choisi.
Revenant à cette tentative de libération de la femme. A vos armes citoyennes ! Notre journaliste cite une rédactrice tunisienne qui lui explique la chose : « Pour cette rédactrice, les femmes tunisiennes ont les mêmes droits que celles de l’Occident. ». Ah ! Tout s’éclaire maintenant. C’est le flux et le reflux de l’Occident qui cause toute cette agitation désordonnée. Le model de la liberté est celui qui correspond, on s’en doutait un peu, à l’exemple occidental. La norme, c’est l’Occident qui l’a fixe et c’est à elle qu’il faille se conformer. L’Occident ― la circonstance me contrains à être aussi vague et imprécis― ne comprend pas les différences, et par *****équent ne les tolère pas, taxant ainsi l’Autre qui ne lui ressemble pas d’Anormale. C’est se fondre dans ce grand système aux intentions douteuses qu’on appel Mondialisation, qui veut faire de l’Occident une légitimité qui a l’exclusivité de s’affirmer en tant que référence aux autres. Tous le monde doit y souscrire en effaçant sa propre identité, bref se convertir au model occidentale. Mais une conversion laïque.
Parmi ces normes on note effectivement l’abolition de frontières entre l’homme et la femme. Cette dernière peut s’approprier tous ce qui est masculin, en passant par l’habit (pantalon) ; les fonctions et les habitudes, et dans l’avenir, qui sait, quand on aura rendu la femme l’égale de l’homme, on voudra rendre se dernier l’égale de la femme, en lui plantant un utérus. Tout est possible avec ce monstre du féminisme. Aussi ; note-t-on parmi ces normes occidentales le très beau concept de la « laïcité » et de la lutte de la religion. Tous le monde est philosophe quand il s’agit d’en parler, mais presque personne ne donne à ce sujet les proportions qu’il mérite. Ce qui fait que pour Nadia BENAKLI « la femme tunisienne s’est réellement libérée de l’emprise de l’homme. Preuve à l’appui, souligne notre collègue, la polygamie, la répudiation sont interdites » ici par homme elle entend bien entend la religion, c’est une condamnation subtile de ce qui pourrait être la cause du malheur de gens.
Lutter contre l’injustice des hommes, c’est un fait que l’on andouilleçoit parfaitement. Mais se livrer à une « insurrection » contre l’Ordre divin complique beaucoup les choses. Pour un combat, quoique perdu d’avance, ç’en est un, aussi vieux que le monde ! Abolir deux droits conférés aux hommes par décret divin qui figure, sans ambigüité, dans le corpus coranique, c’est le réel exemple de l’émancipation fallacieuse. Ici on a passé du combat de la femme contre l’homme à celui de la femme contre Dieu. Des magnifique vers de Lamartine concernant cette idée insurrectionnel me viennent à l’esprit « Mais cette loi, dis-tu, révolte ta justice. Elle n’est à tes yeux qu’un bizarre caprice. » On veut étouffer au nom de liberté de truc et l’émancipation de machin les décrets coraniques, plus rien ni sacré, tout est dépeuplé. C’est déploré ce « raisonnement » qi s’échine à puisé sa légitimité dans de fausse convictions. Arrêtons de dire et de faire n’importe quoi, « Confessons-là, Byron, et ne la jugeons pas »
Au fait la femme « libre » selon Nadia BENAKLI c’est la Métamorphose en terme kafkaïen, la femme devient un homme en brisant toutes les frontières qui les séparent ; et fait tous ce que ce dernier entreprend comme folie ou maladresse. C’est dire qu’elle peut fumer en toute « liberté » dans les endroits publics sans subir le regard des autres. D’ailleurs notre journaliste se réjouit à l’idée que « Même les femmes voilées fumaient sans aucune gêne leurs cigarettes. » En matière de progrès, c’est un grand pas en effet. Je pense que « libertinage » est le terme adéquat pour décrire cette « liberté ». Bientôt en fumant beaucoup plus, et surtout si les femmes en burqa s’y mettent elles aussi, Jupiter sera conquis.
Si la liberté ou l’émancipation de la femme se réduisait au simple fait de fumer en publique, en toute évidence l’Algérie n’a rien à envié à la Tunisie concernant ce point. Les femmes qui fument, on en voit un peu partout : dans les universités, les hôtels, les cafés, sur les plages et dans les bars, etc. A ma connaissance il n’y aucune loi en Algérie qui interdit aux femmes de fumer en publique. Après tout, tous le monde a le droit de mourir comme il veut. Si les hommes veulent se pourrir les poumons et mourir dans des atrocités qui leur conviennent, pourquoi diable les femmes n’auront pas droit à cette misère elles aussi! Seulement il y a un grande partie de femmes en Algérie qui n’éprouvent pas l’envi de fumer, donc elles s’y plaisent dans la servitude loin de la liberté de la cigarette. Doit-on, en suivant l’exemple tunisien― par je en sais quelle magie, c’est devenu une référence ma foi !― leur distribuer des paquets de cigarettes gratuit et des narguilés pour marquer l’avènement de la liberté de la femme en Algérie ? C’est loin d’être intelligent et ça l’est encore moins en choisissant un pays comme la Tunisie pour prôner la « liberté » sous n’importe quelle forme, alors que c’est l’un des premiers pays arabes qui persécute toutes les libertés : celle de la presse et du culte en sont un bon exemple. D’ailleurs les rapports en matière de classement des pays arabes concernant les persécutions ―paradoxalement publié sur ce même quotidien, L’Expression en l’occurrence― placent l’Algérie devant la Tunisie et le Maroc. Il est clair que pour parler de liberté, l’exemple est mal choisi.
Revenant à cette tentative de libération de la femme. A vos armes citoyennes ! Notre journaliste cite une rédactrice tunisienne qui lui explique la chose : « Pour cette rédactrice, les femmes tunisiennes ont les mêmes droits que celles de l’Occident. ». Ah ! Tout s’éclaire maintenant. C’est le flux et le reflux de l’Occident qui cause toute cette agitation désordonnée. Le model de la liberté est celui qui correspond, on s’en doutait un peu, à l’exemple occidental. La norme, c’est l’Occident qui l’a fixe et c’est à elle qu’il faille se conformer. L’Occident ― la circonstance me contrains à être aussi vague et imprécis― ne comprend pas les différences, et par *****équent ne les tolère pas, taxant ainsi l’Autre qui ne lui ressemble pas d’Anormale. C’est se fondre dans ce grand système aux intentions douteuses qu’on appel Mondialisation, qui veut faire de l’Occident une légitimité qui a l’exclusivité de s’affirmer en tant que référence aux autres. Tous le monde doit y souscrire en effaçant sa propre identité, bref se convertir au model occidentale. Mais une conversion laïque.
Parmi ces normes on note effectivement l’abolition de frontières entre l’homme et la femme. Cette dernière peut s’approprier tous ce qui est masculin, en passant par l’habit (pantalon) ; les fonctions et les habitudes, et dans l’avenir, qui sait, quand on aura rendu la femme l’égale de l’homme, on voudra rendre se dernier l’égale de la femme, en lui plantant un utérus. Tout est possible avec ce monstre du féminisme. Aussi ; note-t-on parmi ces normes occidentales le très beau concept de la « laïcité » et de la lutte de la religion. Tous le monde est philosophe quand il s’agit d’en parler, mais presque personne ne donne à ce sujet les proportions qu’il mérite. Ce qui fait que pour Nadia BENAKLI « la femme tunisienne s’est réellement libérée de l’emprise de l’homme. Preuve à l’appui, souligne notre collègue, la polygamie, la répudiation sont interdites » ici par homme elle entend bien entend la religion, c’est une condamnation subtile de ce qui pourrait être la cause du malheur de gens.
Lutter contre l’injustice des hommes, c’est un fait que l’on andouilleçoit parfaitement. Mais se livrer à une « insurrection » contre l’Ordre divin complique beaucoup les choses. Pour un combat, quoique perdu d’avance, ç’en est un, aussi vieux que le monde ! Abolir deux droits conférés aux hommes par décret divin qui figure, sans ambigüité, dans le corpus coranique, c’est le réel exemple de l’émancipation fallacieuse. Ici on a passé du combat de la femme contre l’homme à celui de la femme contre Dieu. Des magnifique vers de Lamartine concernant cette idée insurrectionnel me viennent à l’esprit « Mais cette loi, dis-tu, révolte ta justice. Elle n’est à tes yeux qu’un bizarre caprice. » On veut étouffer au nom de liberté de truc et l’émancipation de machin les décrets coraniques, plus rien ni sacré, tout est dépeuplé. C’est déploré ce « raisonnement » qi s’échine à puisé sa légitimité dans de fausse convictions. Arrêtons de dire et de faire n’importe quoi, « Confessons-là, Byron, et ne la jugeons pas »
Séraphin, le 18/11/2010
Séraphin- Admin
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Re: Réponse à Nadia BENAKLI pour son article « TUNISIE, Le pays où la femme est reine » paru dans l’édition du 18 Novembre 2010 du quotidien l’Expression
Merci j'aime bien ce genre de débats et des réactions, si seulement tout le monde réagissait ainsi!
Valodia- Membre Actif
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Re: Réponse à Nadia BENAKLI pour son article « TUNISIE, Le pays où la femme est reine » paru dans l’édition du 18 Novembre 2010 du quotidien l’Expression
Oui pour le débat mais pas vraiment convaincu par les arguments, en tout cas merci, bonne participation.
faridou- Messages : 1
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Re: Réponse à Nadia BENAKLI pour son article « TUNISIE, Le pays où la femme est reine » paru dans l’édition du 18 Novembre 2010 du quotidien l’Expression
[quote="faridou"]Oui pour le débat mais pas vraiment convaincu par les arguments, en tout cas merci, bonne participation.[/quote
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Séraphin- Admin
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Re: Réponse à Nadia BENAKLI pour son article « TUNISIE, Le pays où la femme est reine » paru dans l’édition du 18 Novembre 2010 du quotidien l’Expression
Je crois que les derniers évènements ont prouvé le contraire à cette journaliste, qui, j'éspère, ne se laissera plus leurré par les apparences!
Kamil- Explorateur
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Date d'inscription : 13/03/2010
Re: Réponse à Nadia BENAKLI pour son article « TUNISIE, Le pays où la femme est reine » paru dans l’édition du 18 Novembre 2010 du quotidien l’Expression
je suis relativement d'accore avec ce qui se dit sans débattre de se que la journaliste a mis ds son article car je ne l'ai pas encore lu il est possible qu'il a été mal interprété
je suis d'accore que tu parle de liberté mal interprété, certe la liberté des femmes se n'est pas de pouvoir fumer dans des lieu public mais je pense que ce que la journaliste a voulus démontré c'est que maintenant les filles arrivent a assumer de faire se qui a été longtemps interdit par les mentalité
maintenant est ce que c est ca la liberté .... en tout les cas si c est bien ca elle est tres mal utiliser
c est vrais que l'image que donne la Tunisie concernant ces femmes est differente des femmes dans les autres pays arabe, mais est ce que c est ca la liberté
comme tu le dis si bien pour quoi prendre en exemple l'occident la liberté est differente d'une culture a une autre nous n avons pas les memes principes et référence la liberté de l'occident ne peux pas s'appliquer a un pays " musulman" si tel est la référence car la femme demande et veux tellement avoir ce qu elle appel " liberté" qu elle donne l'impression d'oublier se qu elle est ces origine et la lois qui nous guide qui est la loi divine que je sache
avant de vouloir etre libre il faut commencer par définir cette liberté dans un cadre qui convienne a ce qu on est, la liberté est differente d'une personne a une autre
la femme n'a pas a égaler l'homme ou a le dépasser ou a etre inférieur, chacun a sa place chacun a son role, la liberté commence par le respect de chacun
je suis d'accore que tu parle de liberté mal interprété, certe la liberté des femmes se n'est pas de pouvoir fumer dans des lieu public mais je pense que ce que la journaliste a voulus démontré c'est que maintenant les filles arrivent a assumer de faire se qui a été longtemps interdit par les mentalité
maintenant est ce que c est ca la liberté .... en tout les cas si c est bien ca elle est tres mal utiliser
c est vrais que l'image que donne la Tunisie concernant ces femmes est differente des femmes dans les autres pays arabe, mais est ce que c est ca la liberté
comme tu le dis si bien pour quoi prendre en exemple l'occident la liberté est differente d'une culture a une autre nous n avons pas les memes principes et référence la liberté de l'occident ne peux pas s'appliquer a un pays " musulman" si tel est la référence car la femme demande et veux tellement avoir ce qu elle appel " liberté" qu elle donne l'impression d'oublier se qu elle est ces origine et la lois qui nous guide qui est la loi divine que je sache
avant de vouloir etre libre il faut commencer par définir cette liberté dans un cadre qui convienne a ce qu on est, la liberté est differente d'une personne a une autre
la femme n'a pas a égaler l'homme ou a le dépasser ou a etre inférieur, chacun a sa place chacun a son role, la liberté commence par le respect de chacun
Nawel- Messages : 2
Points : 2
Date d'inscription : 07/05/2011
Re: Réponse à Nadia BENAKLI pour son article « TUNISIE, Le pays où la femme est reine » paru dans l’édition du 18 Novembre 2010 du quotidien l’Expression
Voilà, si bien résumé que j'en trouve rien à y rajouter!Nawel a écrit:je suis relativement d'accore avec ce qui se dit sans débattre de se que la journaliste a mis ds son article car je ne l'ai pas encore lu il est possible qu'il a été mal interprété
je suis d'accore que tu parle de liberté mal interprété, certe la liberté des femmes se n'est pas de pouvoir fumer dans des lieu public mais je pense que ce que la journaliste a voulus démontré c'est que maintenant les filles arrivent a assumer de faire se qui a été longtemps interdit par les mentalité
maintenant est ce que c est ca la liberté .... en tout les cas si c est bien ca elle est tres mal utiliser
c est vrais que l'image que donne la Tunisie concernant ces femmes est differente des femmes dans les autres pays arabe, mais est ce que c est ca la liberté
comme tu le dis si bien pour quoi prendre en exemple l'occident la liberté est differente d'une culture a une autre nous n avons pas les memes principes et référence la liberté de l'occident ne peux pas s'appliquer a un pays " musulman" si tel est la référence car la femme demande et veux tellement avoir ce qu elle appel " liberté" qu elle donne l'impression d'oublier se qu elle est ces origine et la lois qui nous guide qui est la loi divine que je sache
avant de vouloir etre libre il faut commencer par définir cette liberté dans un cadre qui convienne a ce qu on est, la liberté est differente d'une personne a une autre
la femme n'a pas a égaler l'homme ou a le dépasser ou a etre inférieur, chacun a sa place chacun a son role, la liberté commence par le respect de chacun
Séraphin- Admin
-
Messages : 6235
Points : 6616
Date d'inscription : 24/01/2009
Localisation : Homeland
Re: Réponse à Nadia BENAKLI pour son article « TUNISIE, Le pays où la femme est reine » paru dans l’édition du 18 Novembre 2010 du quotidien l’Expression
Tu as lu Kafka Séraphin? Agréablement surprise
"selon Nadia BENAKLI c’est la Métamorphose en terme kafkaïen, la femme devient un homme en brisant toutes les frontières qui les séparent "
Si la femme se transforme en terme Kafkaïen, la seule "Verwandlung" sera en un insecte immonde qu'on ne peut même pas définir, si c'est à ça dont elle inspire...
"Loin de moi l’idée de faire l’apologie de l’Etat, mais il en reste que le seul pays arabe où une femme a été promue générale au sein d’une institution purement masculine qui est l’armée, demeure l’Algérie à ma connaissance, alors que la Tunisie n’en compte aucune."
Juste une chose à ce sujet, je ne sais pas si c'étais juste pour souligner l'absurdité des écrits de cette femme, sans admiration aucunes pour ces 'niveaux' qu'on obtenus ces femmes Algériennes (ministres etc) Mais je souhaite préciser que c'est un mauvais concours que l'on se ferait, parce que la femme n'a de doutes façon rien à faire dans un endroit remplis d'homme à les diriger (l'armée) et encore moins au ministère à faire des lois, la femme n'a d'ailleurs pas le droit de diriger un pays-islamiquement parlant-
Alors que certaines et certains veulent prendre pour modèle l'occident, soit, qu'ils prennent au moins les bonnes choses, car tout peuple à de bonnes choses qui ne contredisent ni l'islam ni la morale et que l'on peut copier sans perdre ni nos valeurs ni notre identité propre
Or, la seule chose que je vois chaque fois, c'est que les gens ne prennent que les mauvaises choses, qui perdent l'occident eux-même et les sociologue Occidentaux ne se cachent pas de le dire...
""Parmi ces normes on note effectivement l’abolition de frontières entre l’homme et la femme. Cette dernière peut s’approprier tous ce qui est masculin, en passant par l’habit (pantalon) ; les fonctions et les habitudes, et dans l’avenir, qui sait, quand on aura rendu la femme l’égale de l’homme, on voudra rendre se dernier l’égale de la femme, en lui plantant un utérus""
Pardonne-moi cher Séraphin, tu n'est pas à la page, il se trouve que cela existe déjà, des hommes qui portent des bébés grâce à l'implant d'utérus et la césarienne-merveilleuse invention Japonaise ou Chinoise, je ne sais plus exactement-
""C’est se fondre dans ce grand système aux intentions douteuses qu’on appel Mondialisation, qui veut faire de l’Occident une légitimité qui a l’exclusivité de s’affirmer en tant que référence aux autres. Tous le monde doit y souscrire en effaçant sa propre identité, bref se convertir au model occidentale. Mais une conversion laïque."" Pas seulement laïque, mais satanique. C'est exactement le but recherché, imposer au monde UN seul et unique modèle,puis un seul système de gouvernement, Il y a eu l'Europe, maintenant le rattachement de l' Amérique dont aucuns médias n'a parlé et ensuite D'autre pays se rattacherons( Chine, Russie...) jusqu'à ce que tout ces 'blocs' se réunissent et ne fasse qu'un, un Bloc, un pouvoir, une seule autorité
Merci pour cette réponse
Firdaws2- Explorateur
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Date d'inscription : 15/10/2011
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